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31 janvier 2016

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L'association Barakacity dite humanitaire et très communautariste, hors de nos valeurs et de notre société, est établie en France et a des ramifications dans le monde entier avec des personnes assez futées pour ne pas se faire prendre...
Quitte à cultiver un rapport ambigu avec les djihadistes qui combattent sur place.
Au parquet d'Ivry, on rappelle que la structure a été perquisitionnée deux fois. Une première fois en février 2015, à la suite du survol d'un drone au-dessus d'un convoi humanitaire qu'ils s'apprêtaient à faire partir en Syrie. La seconde perquisition, administrative, sera décidée par le préfet dans le cadre de l'état d'urgence décrété après les attentats de Paris. Mais jusqu'ici, ces procédures n'ont entraîné aucune poursuite judiciaire."Source

 Le gouvernement français entretient des liaisons dangereuses avec des associations dites humanitaires et groupes terroristes mettant en danger la nation française, quand ce ne sont pas des pays infréquentables tels que le Qatar et l'Arabie saoudite et autres pays fanatiques religieux. Les attentats successifs sur le sol français auraient-ils pu être évités si les branches pourries de notre arbre avaient été coupées ? 
Quel exemple pour nos jeunes avec ce musulman très connu et apprécié dans sa sphère communautaire... Après, on se demande comment "déradicaliser" la haine ? Chacun appréciera...



"Dimanche sur Canal +, Najat Vallaud-Belkacem a refusé de débattre avec Idriss Sihamedi, son président d'obédience salafiste.

Depuis sa création en 2010, l'association BarakaCity entretient l'ambiguïté sur ses liens avec l'islam radical. Officiellement, l'ONG islamique se donne pour mission de venir en aide aux populations musulmanes à travers le monde. Mais la structure établie à Courcouronnes dans l'Essonne et ses adhérents sont dans le viseur des autorités françaises. «En raison de ses liens avec la mouvance islamiste radicale, les activités de cette association font l'objet d'une attention particulière des pouvoirs publics», explique-t-on sobrement à la préfecture de l'Essonne.
Son président et fondateur, Idriss Sihamedi, est fiché S, confirme une source policière. D'obédience salafiste même s'il rejette le terme, il est connu pour ses positions pour le moins orthodoxes. L'homme s'est une nouvelle fois illustré dimanche, sur le plateau du «Supplément» de Canal +. Idriss Sihamedi était invité pour parler du sort de Moussa Ibn Yacoub, un membre de BarakaCity emprisonné au Bangladesh depuis un mois pour «activités suspectes». Mais l'ambiance se tend sur le plateau, lorsqu'il déclare «ne pas serrer la main aux femmes», puis peine à condamner clairement les exactions de Daech en Irak et en Syrie, où son association intervient.

650.000 fans sur Facebook

L'homme n'en est pas à son premier coup d'éclat. Il multiplie régulièrement les sorties polémiques sur Twitter. En septembre 2015, il écrit: «Je pense que la musique peut être dangereuse, la polygamie une alternative contre l'adultère et le voile un signe de pudeur. Suis-je fou?» Le message avait disparu mardi, supprimé par son auteur, après une brève suspension de son compte par Twitter. Idriss Sihamedi dénonce alors une cabale. Il estime qu'il n'a pas, en tant que musulman, à condamner les actes de l'Etat islamique. Mais la polémique braque à nouveau les projecteurs sur lui et son association. Accusée d'avoir réagi trop mollement à ses propos lorsqu'elle était sur le plateau, Najat Vallaud-Belkacem le charge: Pour elle, «on ne peut élever au rang d'interlocuteurs des gens qui se situent en dehors du champ républicain».
BarakaCity est une association très populaire dans les quartiers. Elle a levé près de 16 millions d'euros en quatre ans d'activité, selon son fondateur. Très présente sur les réseaux sociaux, l'association compte plus de 650.000 fans sur Facebook. Elle mobilise les musulmans sur des causes communautaristes. La structure intervient notamment en Birmanie auprès des Rohingyas, peuple musulman persécuté par les extrémistes bouddhistes, mais aussi auprès des musulmans en Irak et en Syrie. (...)" Source lefigaro.fr

article publié le 28/01/2016
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